Let's take a break
Fermer les yeux, Prendre ta main. Sentir ta peau contre ma peau. La chaleur de ton corps. Les battements de ton cœur.
Me lier à toi, juste maintenant. Me sentir là, proche de toi. Ne pars pas. Reste encore là.
Fermer les yeux, Prendre ta main. Sentir ta peau contre ma peau. La chaleur de ton corps. Les battements de ton cœur.
Me lier à toi, juste maintenant. Me sentir là, proche de toi. Ne pars pas. Reste encore là.
Je veux fermer les yeux, et ne plus les rouvrir Je veux rejoindre les cieux, arrêter de souffrir Afin de lâcher prise, quand la vie tétanise Que mon corps tout en crise, abandonne toute maîtrise.
Se permettre de tomber, ne plus se relever Se regarder échouer, sans ne plus essayer Mais se dire que c'est bien, ce petit bout de rien Parce que je suis serein, que ce soit là ma fin.
S'il te plait ne pleure pas, ce n'est pas une tristesse Constater ce trépas, n'est qu'une de mes faiblesse Maintenant je me repose, heureuse et libérée Ce n'est qu'une overdose, tout bien considéré.
Puisses tu donc te souvenir, de nos moments passés De me voir te chérir, sans cette chair tabassée Que ces moments d'bonheurs, toute les deux l'une contre l'autre Toi et moi dans ton cœur, cet amour c'est le notre.
Corps tu me fais mal Mais c'est dans la tête Que c'est anormal Qu'il y a la tempête
Oui, ton corps est sein Ne lui reproche rien Va voir ton médecin La vérité vient
Regarde tes exams Ils sont exemplaires Sauf que tu exhales Un être incendiaire
Tu luttes face au monde Provoque ton malheur Pensées moribondes Emplissent ton cœur
Arrête de pleurer Lève donc la tête Avance demeuré Tu es une athlète
Sinon, quand décides tu de vivre ? De vouloir regarder devant Au lieu d'uniquement survivre Sous l'soleil rouge du levant
Laisse le passé derrière toi Ressasser tes fautes n'aide en rien Et de te demander pourquoi Donc vis comme un épicurien
Ta vie entière est à construire Chaque événement est un souvenir Utilisent les pour rebondir Et faire que tu puisses moins souffrir
Go, courage ! Un pas après l'autre Avance, lève la tête, ne tombes pas Cours là haut, en haut de cette côte C'est la vie qui te tend les bras.
Aujourd'hui je te parle Mais vas tu disparaître De ma mine blafarde J'angoisse sans plus paraître
S'il te plaît ne pars pas Je ne saurais que faire Si ce n'est le trépas Retourner à la terre
Comment vivais je sans toi Avant de te connaître J'étais heureuse crois moi Sans autant de mal être
Donc es tu bonne pour moi ? Toi qui hante mes pensées Moi qui souffre près de toi Toi qui vis assurée
Je ne sais comment faire Ou quand bien même le dois-je Me voilà qui espère Vivre un heureux voyage.
Que tu me parais longue Je compte le temps qui passe, Ce n'est qu'une part du monde Tout cela me dépasse
Dans quel monde suis-je ? Errante sans plus savoir Moi qu'on dit une prodige Jamais n'aurai je d'espoir
Je dois être réveillée, La fatigue m'envahit Qui donc dois-je remercier Pour cette euthanasie
C'est bon, je me souviens Qui je fus autre fois J'aurais donc fait le bien J'ai vécu près de toi.
Pourquoi suis-je attachée à toi ? Toi qui ne me fait pas confiance Pourtant je n'ai été que moi Mais tu me montre tant de défiance
Seul ton bonheur est mon désir Jamais je n'ai été sournois Tu t'imagines, moi, te détruire Ce que tu crois, ce n'est pas moi
Je n'ai plus envie de te dire Encore faire des efforts pour toi Je n'ai plus la foi de subir De pleurer pour te dire pourquoi
Pourquoi moi aussi j'ai souffert Bien plus que tu ne le projette Tu ne regardes que ton sanctuaire A côté le mien tombe en miette.
Alors ainsi je t'abandonne Toi pour qui j'ai eu de l'amour Maintenant comme une championne Je dois survivre avec bravoure
Cœur je te déteste. Va t'en de ma tête Je veux être honnête Tu es comme la peste.
Bonjour la tristesse Bonjour la detresse Faut-il ressentir Cette envie d'vomir
Je ne veux plus d'ça Je ne veux plus d'toi Tu me laisse sans foi Alors va t'en d'là.
Toi mon cœur qui bat Mon amour s'en va Maintenant libérée Je vais vivre en paix.
Quand la douleur m'emporte, Et que l'esprit s'égare Que tout mon corps tremblotte La vie sans plus d'égard
Doucement respirer, Espérer oublier Voir le jour se lever, Sur mon âme épuisée
Ainsi passent les jours, En hurlant pleine de rage Un à un tour à tour, Je n'ai plus le courage.
Il faut que tout s'arrête, De souffrance j'en implore Te dirais-je tête à tête Que je voudrai ma mort.
Le sang qui coule de ma veine, Riviére qui lentement se déchaine. Ainsi perdrais-je la vie, Pour moi tout est fini.
Je m'en vais aujourd'hui, Loin du tourbillon de la vie. Ceci est mon moment à moi, Celui où je pars loin de toi.
Tranquillement j'ai vécu, Ce long chemin parcouru. Mais je suis fatiguée, Douloureuse et éreintée.
Tout est ainsi fini.